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Que faire de ses déchets ? Moins jeter et mieux trier


Un français produit chaque année 573 kg de déchets, qui se retrouvent dans les poubelles et les conteneurs de tri, ainsi qu'en déchèterie.
Il est urgent de réduire les déchets pour diminuer le nombre d'installations de traitement et préserver les matières premières.

Etre vigilant lors des achats et prolonger au maximum la durée de vie des objets, grâce à la réutilisation, le réemploi, la réparation permet de réduire la quantité de déchets.

Il est tout aussi essentiel de trier ses déchets pour que les matières soient recyclées (plastique, verre, métaux ou papier), mais aussi en rapportant les objets usagés en déchèterie ou dans les bornes de collecte dédiées en magasin.

Voici un guide des bons réflexes à adopter pour réduire la quantité de déchets et bien les éliminer afin de permettre leur valorisation.























Télécharger le guide (PDF - 20 pages)



Les éco gestes



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Articles de saison



Bonjour

Voici quelques articles de saison que vous pouvez trouver sur le site

Pour tout savoir sur les courges, les variétés et leur conservation :

Les courges



Les parcs naturels régionaux ont 50 ans !!
 
N'hésitez pas à les redécouvrir lors d'une balade en famille.
A la fin de ces articles vous découvrirez de nombreux itinéraires de promenades

Les parcs naturels régionaux en île de France
 

 
Bonne lecture


 
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Les impacts des smartphones - Des téléphones pas si smart pour l’environnement


L’ADEME et l’association France nature environnement ont publié le guide « Les impacts des smartphones - Des téléphones pas si smart pour l’environnement ».

L’ouvrage a pour but d’offrir au grand public un décryptage des impacts des téléphones portables sur l’environnement, et de donner des astuces pour aider les consommateurs à agir à leur échelle.
Bien que l’impact environnemental d’un produit se mesure tout au long de sa vie, celui des téléphones portables intervient aux 3/4 pendant la fabrication.
L’extraction des ressources est en grande partie responsable — il faut 70 kg de matières naturelles pour produire un seul smartphone — et conduit à la destruction d’écosystèmes et à de multiples pollutions. À cela s’ajoute la courte durée de vie de ces appareils, que nous remplaçons en moyenne tous les deux ans.

Il est donc important pour le consommateur de faire des choix plus durables pour réduire son impact sur l’environnement : bien définir ses besoins lors de l’achat, adopter les bonnes pratiques d’utilisation, réparer, louer ou encore donner une seconde vie à ses anciens appareils.

















Télécharger le guide pratique (PDF - 8 pages)



En savoir plus sur les éco gestes


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Le mystère de la disparition des abeilles - Arte







Parasites, virus, pesticides...
L'effondrement des colonies d'abeilles s'accélère. Un désastre écologique planétaire en perspective.
Enquête sur un désastre écologique mondial qui pourrait mettre en péril l'humanité toute entière...


L'abeille est le pollinisateur agricole le plus important de notre planète. Un tiers de notre nourriture dépend aujourd'hui directement de son travail de pollinisation.

Depuis plusieurs années, des millions d'abeilles disparaissent. Scientifiques et apiculteurs sont en première ligne pour inciter gouvernements et institutions à consacrer des ressources importantes à la recherche des causes de la vulnérabilité de l'insecte mellifère.

Filmé durant 18 mois en France, en Allemagne, aux Etats-Unis, au Canada et en Ecosse, Le mystère de la disparition des abeilles fait le bilan des connaissances scientifiques, explore les hypothèses, et met en examen nos pratiques agricoles et notre modèle de société.

"C'est la première fois dans l'histoire de notre planète que l'étendue des activités humaines empiète autant sur le système naturel. Et c'est la première fois que la civilisation humaine risque de s'effondrer. Nous allons peut-être disparaître à cause des abeilles".
Pr. Paul Ehrlich, Biologiste, Université de Stanford



En savoir plus :

Connaître les insectes pollinisateurs et les accueillir au jardin
Rencontre avec les pollinisateurs (PDF - 6.4 Mo)
L’abeille noire
Guide pour la mise en place de plantations Mellifères
Cours d’apiculture pour débutant
L'apiculture en vidéos
Des ruches décorées (Album)
C'est pas sorcier -Le déclin des Abeilles
A qui profite le miel ? - Datagueule
La vérité sur le miel industriel (vidéo)








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Des pesticides en ville comme à la campagne : Une double problématique en île-de-France



La dernière campagne « Pesticides » d’Airparif s’est achevée en août 2014 après un an de mesure. Deux sites de prélèvements situés en ville et à la campagne ont permis de dresser un vaste panorama des concentrations de pesticides dans la région Île-de-France. Cette nouvelle étude offre un regard actualisé sur les teneurs et la nature des pesticides dans l’air francilien et permet des comparaisons sur la période printanière avec celle menée en 2006. Si les niveaux les plus importants sont relevés en zone rurale, le cœur de l’agglomération parisienne reste également concerné par la présence de nombreux composés.





171 composés ont été recherchés pour cette étude, dont 48 ont été détectés. Les herbicides et les fongicides sont les produits les plus fréquemment retrouvés dans l’air ambiant de la région. Le nombre total de composés retrouvés en ville et en zone agricole est, lui, quasiment identique avec 38 éléments contre 36 pour le site rural. Les types de composés retrouvés sur chaque site diffèrent plus nettement avec une utilisation des herbicides majoritaire en zone rurale, tandis que les insecticides/acaricides sont plus récurrents en ville. La diversité des usages de chaque milieu explique en partie ce constat.





Liste des composés détectés sur chaque site de mesure

Les zones agricoles connaissent les teneurs les plus élevées, mais le cœur de la métropole connaît également de nombreux relevés liés à des activités non agricoles et dont les niveaux ne sont pas négligeables. Dans l’ensemble, les concentrations mesurées en zone urbaine et à dans le sud de l’Essonne restent malgré tout inférieures ou égales à 0,2 ng/m3* pour respectivement 56 % et 61 % des prélèvements. La différence est plus remarquable sur les valeurs supérieures à 1 ng/m3 : elles sont détectées presque deux fois plus souvent en zone rurale qu’en zone urbaine (14 % contre 8 %).

Les pesticides sont utilisés tout au long de l’année, mais le printemps marque un pic du nombre de pesticides retrouvés dans l’air francilien. Les périodes maximales d’utilisation coïncident avec les besoins de la végétation. 65 % des substances trouvées sont détectées au printemps, dont 35 % (17 composés sur 49) uniquement durant cette saison. Cette saisonnalité est plus manifeste sur le site agricole, tandis que l’hiver marque un net ralentissement des activités sur les deux sites.






Une baisse des composés entre les deux campagnes

Airparif avait mené une première campagne en 2006 permettant des comparaisons avec les résultats de cette nouvelle étude sur la période du printemps. Par rapport au nombre de composés retrouvés, l’écart s’est réduit entre les deux sites de mesure en l’espace de 8 ans : en zone agricole, une baisse d’un quart des pesticides observés a pu être constatée (passant de 29 à 21 entre 2006 et 2014), alors qu’en zone urbaine ce nombre est resté identique (19 composés).
En revanche, une baisse moyenne des teneurs est visible sur les deux sites, oscillant entre 70 % sur le site rural et de 75 % sur le site urbain. Cette baisse atteint même 95 % pour les composés dont la teneur était la plus élevée. Un seul composé connaît une hausse de sa concentration maximale : le Metolachlore. Cette hausse peut être imputable à l’arrêt de plusieurs autres herbicides depuis 2006, qui ont renforcé son utilisation.
Enfin, 15 composés interdits en tant que phytosanitaire sont toujours détectés en 2014. Le nombre de détections de ces substances interdites varie entre les deux sites : 52 détections sur le site urbain contre 14 en zone rurale. Ce plus grand nombre de composés interdits retrouvés sur le site parisien peut trouver une explication dans la plus grande diversité d’usages faite en ville qu’à la campagne. Le stockage de certains produits peut aussi jouer, certains particuliers les gardant à domicile longtemps après leur interdiction.







Quelle évolution réglementaire ?

Les pesticides sont présents dans l’air toute l’année, aussi bien en zone urbaine qu’en zone agricole, or il n’existe toujours pas de réglementation dans l’air pour ces produits, ni de dispositif de surveillance. Dans le cadre du nouveau Plan National Santé-Environnement 2015-2019. L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a été saisie sur ce sujet. Par ailleurs, les récentes recommandations de la Cour des Comptes préconisent de confier cette surveillance aux Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air (AASQA) comme Airparif, qui travaillent sur ces questions depuis de nombreuses années.

* Nanogramme par mètre cube





  • Les pesticides dans l'air francilien - Partie I
  • Rapport (1434 ko)

    • Les pesticides dans l'air francilien - Partie II
  • Rapport (5360 ko)

    • AIRPARIF Actualité n°43 - Pesticides des villes, pesticides des champs
  • Airparif Actualité (4671 ko)

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